Kritische Edition des Libretto-Erstdrucks Wien 1786 (Libretto)   Kritische Edition des deutschen Libretto-Drucks Wien 1786 (Deutsches Libretto)   Kritische Edition der Vorlage von Beaumarchais, Kehl 1785 (Vorlage)  
SCENA XV
Fünfzehnter Auftritt
SCÈNE XII
I sudetti, Antonio, Basilio e coro con fiaccole accese.
Die Vorigen, Anton, Basilio, Chor mit brennenden Fackeln.
Les acteurs précédents, Brid’oison, Bartholo, Bazile, Antonio, Grippe-Soleil, toute la noce accourt avec des flambeaux.
Bartholo, à Figaro.
Tu vois qu'à ton premier signal…
Le Comte, montrant le pavillon à sa gauche.
Pédrille, empare-toi de cette porte.
(Pédrille y va.)
Bazile, bas, à Figaro.
Tu l'as surpris avec Suzanne ?
Le Comte, montrant Figaro.
Et vous, tous mes vassaux, entourez-moi cet homme et m'en répondez sur la vie.
Bazile
Ha ! Ha !
Le Comte, furieux.
Taisez-vous donc. (À Figaro d'un ton glacé.) Mon cavalier, répondez-vous à mes questions ?
Figaro, froidement.
Eh ! qui pourrait m'en exempter, Monseigneur ? Vous commandez à tout ici, hors à vous-même.
Le Comte, se contenant.
Hors à moi-même !
Antonio
C'est ça parler.
Le Comtereprend sa colère.
Non, si quelque chose pouvait augmenter ma fureur ! ce serait l'air calme qu'il affecte !
Figaro
Sommes-nous des soldats qui tuent et se font tuer pour des intérêts qu'ils ignorent ? je veux savoir, moi, pourquoi je me fâche.
Antonio, Basilio, Coro
Anton, Basilio, Chor
Cosa avvenne?
Was ist geschehen?
Il Conte
Der Graf
Le Comte, hors de lui.
Il scellerato!
Der Lasterhafte! Er hat mich betrogen, er hat mich entehret, und mit wem, das werdet ihr sehen.
Ô rage ! (Se contenant.) Homme de bien qui feignez d'ignorer ! nous ferez-vous au moins la faveur de nous dire quelle est la dame actuellement par vous amenée dans ce pavillon ?
M'ha tradito, m'ha infamato,
e con chi state a veder.
Figaro, montrant l'autre avec malice.
Dans celui-là ?
Le Comte, vite.
Dans celui-ci.
Figaro, froidement.
C'est différent. Une jeune personne qui m'honore de ses bontés particulières.
Bazile, étonné.
Ha, ha !
Le Comte, vite.
Vous l'entendez, messieurs.
Bartholo, étonné.
Nous l'entendons ?
Le Comte, à Figaro.
Et cette jeune personne a-t-elle un autre engagement que vous sachiez ?
Figaro, froidement.
Je sais qu'un grand seigneur s'en est occupé quelque temps : mais, soit qu'il l'ait négligée ou que je lui plaise mieux qu'un plus aimable, elle me donne aujourd'hui la préférence.
Le Comte, vivement.
La préf… (Se contenant.) Au moins il est naïf ! car ce qu'il avoue, messieurs, je l'ai ouï, je vous jure, de la bouche même de sa complice.
Brid'oison, stupéfait.
Sa-a complice !
Le Comte, avec fureur.
Or quand le déshonneur est public, il faut que la vengeance le soit aussi.
(Il entre dans le pavillon.)
SCÈNE XIII
Tous les acteurs précédents, hors le Comte.
Antonio
C'est juste.
Brid'oison, à Figaro.
Qui-i donc a pris la femme de l'autre ?
Figaro, en riant.
Aucun n'a eu cette joie-là.
Antonio, Basilio
Anton
1815
    Fuor di senno è il poveruomo,
Der Arme! er ist völlig außer sich.
Basilio
non mi par che ciò sia ver.
Das scheinet mir nicht wahr zu sein.
Il Coro, Figaro
Chor
Fuor di senno è il poveruomo,
Der Arme ist völlig außer sich.
Figaro
oh che scena da goder!
Welch ein unterhaltliches Ereignis!
SCÈNE XIV
Les acteurs précédents, Le Comte, Chérubin.
Il Conte
Der Graf
Le Comte, parlant dans le pavillon, et attirant quelqu'un qu'on ne voit pas encore.
(Tira pel braccio Cherubino, che fa forza per non sortire né si vede che per metà.)
(reißt den Cherubin bei dem Arme, der ihm widerstehen will und nur halb gesehen wird)
    Invan resistete,
Vergebens widerstehest du; hervor, Madame, du sollst den Lohn für deine Ehrbarkeit empfangen.
Tout vos efforts sont inutiles ; vous êtes perdue, madame ; et votre heure est bien arrivée ! (Il sort sans regarder.) Quel bonheur qu'aucun gage d'une union aussi détestée…
1820
uscite, madama,
il premio or avrete
di vostra onestà.
Figaros'écrie.
Chérubin !
Der Graf
Le Comte
    Il paggio!
Der Page!
Mon page ?
(Dopo il paggio escono Barbarina, Marcellina e Susanna, vestita cogli abiti della Contessa: si tiene il fazzoletto sulla faccia, s'inginocchia a' piedi del Conte.)
(Nach dem Pagen kommen Barberina, Marzellina und Susanna in den Kleidern der Gräfin hervor, letztere verdecket sich mit dem Schnupftuche das Gesicht und fällt vor dem Grafen auf die Knie.)
Bazile
Ha ! ha !
Le Comte, hors de lui.
(À part.) Et toujours le page endiablé ! (À Chérubin.) Que faisiez-vous dans ce salon ?
Chérubin, timidement.
Je me cachais, comme vous l'avez ordonné.
Pédrille
Bien la peine de crever un cheval !
Le Comte
Entres-y, toi, Antonio ; conduis devant son juge l'infâme qui m'a déshonoré.
Brid'oison
C'est Madame que vous y-y cherchez ?
Antonio
L'y a, parguenne, une bonne Providence ! Vous en avez fait tant dans le pays…
Le Comte, furieux.
Entre donc !
(Antonio entre.)
SCÈNE XV
Les acteurs précédents, excepté Antonio.
Le Comte
Vous allez voir, messieurs, que le page n'y était pas seul.
Chérubin, timidement.
Mon sort eût été trop cruel, si quelqu'âme sensible n'en eût adouci l'amertume.
SCÈNE XVI
Les acteurs précédents, Antonio, Fanchette.
Antonio, attirant par le bras quelqu'un qu'on ne voit pas encore.
Allons, madame, il ne faut pas vous faire prier pour en sortir, puisqu'on sait que vous y êtes entrée.
Figaros'écrie.
La petite cousine !
Bazile
Ha ! ha !
Le Comte
Fanchette !
Antonio
Anton
Antoniose retourne et s'écrie.
Mia figlia!
Meine Tochter!
Ah ! palsembleu, Monseigneur, il est gaillard de me choisir pour montrer à la compagnie que c'est ma fille qui cause tout ce train-là !
Le Comte, outré.
Qui la savait là-dedans ?
(Il veut rentrer.)
Bartholo, au-devant.
Permettez, Monsieur le Comte, ceci n'est pas plus clair. Je suis de sang-froid, moi.
(Il entre.)
Brid'oison
Voilà une affaire au-aussi trop embrouillée.
SCÈNE XVII
Les acteurs précédents, Marceline.
Bartholo, parlant en dedans, et sortant.
Ne craignez rien, madame, il ne vous sera fait aucun mal ; j'en réponds. (Il se retourne et s'écrie :) Marceline !…
Bazile
Ha, ha !
Figaro
Figaro
Figaro, riant.
Mia madre!
Meine Mutter!
Eh ! quelle folie ! ma mère en est ?
Antonio
À qui pis fera.
Le Comte, outré.
Que m'importe à moi ? La Comtesse…
SCÈNE XVIII
Les acteurs précédents, Suzanne.
(Suzanne, son éventail sur le visage.)
Tutti
Alle
Madama!
Madame!
Il Conte
Der Graf
Le Comte
1825
Scoperta è la trama,
Die Verwicklung ist aufgelöset: Hier ist die Treulose.
…Ah ! la voici qui sort. (Il la prend violemment par le bras.) Que croyez-vous, messieurs, que mérite une odieuse… ?
la perfida è qua.
(Si inginocchiano tutti ad uno ad uno.)
(Alle knien nieder, einer nach dem anderen.)
(Suzanne se jette à genoux, la tête baissée.)
Susanna
Susanna
    Perdono, perdono!
Vergebung, Vergebung!
Il Conte
Der Graf
Le Comte, fort.
No no, non sperarlo.
Nein, hoffe sie nicht.
Non, non.
Figaro
Figaro
(Figaro se jette à genoux de l'autre côté.)
Perdono, perdono!
Vergebung, Vergebung!
Il Conte
Der Graf
Le Comte, plus fort.
1830
No no, non vo' darlo.
Nein, nein, du sollst sie nicht erhalten.
Non, non.
(Marceline se jette à genoux devant lui.)
Le Comte, plus fort.
Non, non.
Tutti
Alle
(Tous se mettent à genoux, excepté Brid'oison.)
    Perdono, perdono!
Vergebung, Vergebung!
Il Conte
Der Graf
Le Comte, hors de lui.
(Con più forza.)
(mit Nachdruck)
No, no, no, no, no.
Nein! Nein, gar nicht, nein!
Y fussiez-vous un cent !
SCÈNE XIX et dernière
Tous les acteurs précédents, La Comtesse sort de l'autre pavillon.
La Contessa
Die Gräfin
La Comtessese jette à genoux.
(Esce dall'altra nicchia e vuole inginocchiarsi, il Conte nol permette.)
(tritt aus dem Gelager heraus und will niederknien, der Graf lässt es nicht zu)
Almeno io per loro
Vielleicht werde ich wenigstens Vergebung für sie erhalten.
Au moins je ferai nombre.
perdono otterrò.
Il Conte
Der Graf
Le Comte, regardant la Comtesse et Suzanne.
1835
    Oh cielo! Che veggio!
O Himmel! was sehe ich! Ich werde unsinnig! ich verzweifle! Kaum kann ich es glauben. O Gräfin, verzeihe!
Ah ! qu'est-ce que je vois !
Deliro! Vaneggio!
Che creder non so.
Brid'oison, riant.
Eh pardi, c'è-est Madame.
Le Comteveut relever la Comtesse.
(In tuon supplichevole.)
(bittweise)
    Contessa, perdono!
Quoi, c'était vous, Comtesse ? (D'un ton suppliant.) Il n'y a qu'un pardon bien généreux…
La Contessa
Die Gräfin
La Comtesse, en riant.
Più docile io sono
Ich bin viel nachgiebiger und verzeihe dir gleich.
Vous diriez « Non, non », à ma place ; et moi, pour la troisième fois d'aujourd'hui, je l'accorde sans condition.
1840
e dico di sì.
(Elle se relève.)
Suzannese relève.
Moi aussi.
Marcelinese relève.
Moi aussi.
Figarose relève.
Moi aussi ; il y a de l'écho ici ! (Tous se relèvent.)
Le Comte
De l'écho ! – J'ai voulu ruser avec eux ; ils m'ont traité comme un enfant !
La Comtesse, en riant.
Ne le regrettez pas, Monsieur le Comte.
Figaro, s'essuyant les genoux avec son chapeau.
Une petite journée comme celle-ci forme bien un ambassadeur !
Le Comte, à Suzanne.
Ce billet fermé d'une épingle ?…
Suzanne
C'est Madame qui l'avait dicté.
Le Comte
La réponse lui en est bien due.
(Il baise la main de la Comtesse.)
La Comtesse
Chacun aura ce qui lui appartient.
(Elle donne la bourse à Figaro et le diamant à Suzanne.)
Suzanne, à Figaro.
Encore une dot.
Figaro, frappant la bourse dans sa main.
Et de trois. Celle-ci fut rude à arracher !
Suzanne
Comme notre mariage.
Grippe-Soleil
Et la jarretière de la mariée, l'aurons-je ?
La Comtessearrache le ruban qu'elle a tant gardé dans son sein, et le jette à terre.
La jarretière ? Elle était avec ses habits ; la voilà.
(Les garçons de la noce veulent la ramasser.)
Chérubin, plus alerte, court la prendre et dit:
Que celui qui la veut, vienne me la disputer.
Le Comte, en riant, au page.
Pour un monsieur si chatouilleux, qu'avez-vous trouvé de gai à certain soufflet de tantôt ?
Chérubinrecule en tirant à moitié son épée.
À moi, mon colonel ?
Figaro, avec une colère comique.
C'est sur ma joue qu'il l'a reçu : voilà comme les grands font justice !
Le Comte, riant.
C'est sur sa joue ? Ha, ha, ha, qu'en dites-vous donc, ma chère Comtesse ?
La Comtesse, absorbée, revient à elle, et dit avec sensibilité.
Ah ! oui, cher Comte, et pour la vie, sans distraction, je vous le jure.
Le Comte, frappant sur l'épaule du juge.
Et vous, don Brid'oison, votre avis maintenant ?
Brid'oison
Su-ur tout ce que je vois, Monsieur le Comte… ma-a foi, pour moi je-e ne sais que vous dire : voilà ma façon de penser.
Tous ensemble
Bien jugé !
Figaro
J'étais pauvre, on me méprisait. J'ai montré quelque esprit, la haine est accourue. Une jolie femme et de la fortune…
Bartholo, en riant.
Les cœurs vont te revenir en foule.
Figaro
Est-il possible ?
Bartholo
Je les connais.
Figaro, saluant les spectateurs.
Ma femme et mon bien mis à part, tous me feront honneur et plaisir.
On joue la ritournelle du Vaudeville (air noté).
Vaudeville
Bazile
Premier couplet
    Triple dot, femme superbe ;
Que de biens pour un époux !
D'un seigneur, d'un page imberbe,
Quelque sot serait jaloux,
Du latin d'un vieux proverbe
L'homme adroit fait son parti.
Figaro
Je le sais…
(Il chante.) Gaudeant bene nati.
Bazile
Non…
(Il chante.) Gaudeat bene nanti.
Suzanne
Deuxième couplet
    Qu'un mari sa foi trahisse,
Il s'en vante, et chacun rit ;
Que sa femme ait un caprice,
S'il l'accuse on la punit.
De cette absurde injustice,
Faut-il dire le pourquoi ?
Les plus forts ont fait la loi… bis.
Figaro
Troisième couplet
    Jean Jeannot, jaloux risible,
Veut unir femme et repos ;
Il achète un chien terrible,
Et le lâche en son enclos.
La nuit, quel vacarme horrible !
Le chien court, tout est mordu,
Hors l'amant qui l'a vendu… bis.
La Comtesse
Quatrième couplet
    Telle est fière et répond d'elle,
Qui n'aime plus son mari ;
Telle autre presque infidèle,
Jure de n'aimer que lui.
La moins folle, hélas ! est celle
Qui se veille en son lien,
Sans oser jurer de rien… bis.
Le Comte
Cinquième couplet
    D'une femme de province,
À qui ses devoirs sont chers,
Le succès est assez mince ;
Vive la femme aux bons airs !
Semblable à l'écu du Prince,
Sous le coin d'un seul époux,
Elle sert au bien de tous… bis.
Marceline
Sixième couplet
    Chacun sait la tendre mère,
Dont il a reçu le jour ;
Tout le reste est un mystère,
C'est le secret de l'amour.
Figarocontinue l'air.
Ce secret met en lumière
Comment le fils d'un butor
Vaut souvent son pesant d'or… bis.
Septième couplet
    Par le sort de la naissance,
L'un est roi, l'autre est berger ;
Le hasard fit leur distance ;
L'esprit seul peut tout changer.
De vingt rois que l'on encense,
Le trépas brise l'autel ;
Et Voltaire est immortel… bis.
Chérubin
Huitième couplet
    Sexe aimé, sexe volage,
Qui tourmentez nos beaux jours,
Si de vous chacun dit rage,
Chacun vous revient toujours.
Le parterre est votre image ;
Tel paraît le dédaigner,
Qui fait tout pour le gagner… bis.
Suzanne
Neuvième couplet
    Si ce gai, ce fol ouvrage,
Renfermait quelque leçon,
En faveur du badinage,
Faites grâce à la raison.
Ainsi la nature sage
Nous conduit, dans nos désir,
À son but par les plaisirs… bis.
Brid'oison
Dixième couplet
    Or, Messieurs, la co-omédie
Que l'on juge en cè-et instant,
Sauf erreur, nous pein-eint la vie
Du bon peuple qui l'entend.
Qu'on l'opprime, il peste, il crie ;
Il s'agite en cent fa-açons ;
Tout fini-it par des chansons… bis.
Tutti
Alle
Ah tutti contenti
Ach, so werden wir alle vergnügt sein.
saremo così.
    Questo giorno di tormenti,

     Diesen Tag der Angst, des Eigensinnes und der Torheit kann die Liebe allein in ungestörter Freude endigen.
di capricci e di follia
1845
in contenti e in allegria
solo amor può terminar.
    Sposi, amici, al ballo, al gioco,

     Brautleute, Freunde, zum Tanze, zum Spiele; zündet die Feuerwerke an; eilen wir unter dem Schalle eines anmutigen Marsches, das Fest zu feuern.
alle mine date foco,
ed al suon di lieta marcia
1850
andiam tutti a festeggiar!
BALLET GÉNÉRAL
Fine dell'opera.
Ende des Schauspiels.
Fin du cinquième et dernier acte.
S'adresser, pour la musique de l'ouvrage, à M. BAUDRON, chef d'orchestre du Théâtre-Français.


APPROBATIONS

J'ai lu, par ordre de M.Monsieur le Lieutenant de Police, la pièce intitulée : La folle journée, ou Le Mariage de Figaro ; et je n'y ai rien trouvé qui m'ait paru devoir en empêcher l'impression et la représentation. À Paris, ce vingt-huit février mil sept cent quatre-vingt-quatre.
Signé, COQUELEY DE CHAUSSEPIERRE.


J'ai lu, par ordre de M.Monsieur le Lieutenant général de Police, la pièce intitulée : La folle journée, ou Le Mariage de Figaro ; et je n'y ai rien trouvé qui m'ait paru devoir en empêcher la représentation et l'impression. À Paris, ce vingt-un mars mil sept cent quatre-vingt-quatre,
Signé, BRET.


Vu les approbations ; permis d'imprimer et représenter. À Paris, ce vingt-neuf mars mil sept cent quatre-vingt-quatre.
Signé, LENOIR.


ERRATA (déjà corrigés)

PRÉFACE
Page
9, ligne 8, ces fantômes, lisez, ses fantômes.
10, ligne dernière, n'existe, lisez, existe.
11, 2, les bons et les mauvais, lisez, bons et mauvais.
ibid. 24, ces grands coups, lisez, ses grands coups.
13, 9, de l'œil de bœuf ou des carrosses, lisez, de l'œil-de-bœuf et des Carrosses.
26, 7, la coquette ou la coquine, lisez, la coquette ou coquine.
49, 6, espagnole, lisez, espagnol.

COMÉDIE
Page
116, ligne 2, dans lesquels vous mêlerez, lisez, dans lesquels on mêlera.
175, 94, poursuivions, lisez, poursuivons.
178, 5, sont rentrés, lisez, sont entrés.
183, 23, les bois, lisez, le bois.